Catégorie : Informatique

  • Quel est le meilleur outil d’intelligence artificielle pour une PME ?

    Quel est le meilleur outil d’intelligence artificielle pour une PME ?

    Un peu comme la révolution internet et les sites e-commerces, l’Intelligence Artificielle s’est invitée dans les réflexions des entreprises. Et à chaque responsable, dirigeant d’entreprise, reviennent les mêmes questions :
    – Ai-je besoin d’utiliser une IA ?
    – Quel impact sur mes ventes ou mon positionnement par rapport à mes concurrents ?
    – Est-ce que j’utilise une solution en ligne ou un modèle en local ?

    Et parce que le choix est complexe, chaque jour arrive une nouvelle information. ChatGPT 4 est plus puissant que Gemini ; Mistral AI donne de meilleurs résultats sur les langages de développement informatique ; Lucie le ChatBot made in France donne de mauvaises réponses ; DeepSeek est disponible…

    Pour savoir ce qu’il en est j’ai demandé aux différentes IA, qu’elle était la meilleure IA pour les entreprises. En croisant les informations il est apparu qu’à chaque besoin une IA différente.

    Et enfin, j’ai demandé à DeepSeek si lui-même était un bon choix. Spoiler : sa réponse et non…. Pour l’instant. Les raisons sont expliquées dans cet article.

    Quelles est la meilleure IA ?

    Le choix du meilleur outil d’intelligence artificielle (IA) pour une PME en France dépend des besoins spécifiques de l’entreprise, de son secteur d’activité, de son budget et de ses objectifs. Parmi les outils et solutions d’IA disponible en ce moment (Février 2025) voici ce qu’un PME en France pourrait utiliser :

    Pour automatiser et analyser ses Données
    – Microsoft Azure AI : Une plateforme cloud complète offrant des services d’IA pour l’analyse de données, la vision par ordinateur, le traitement du langage naturel (NLP), etc. Azure est adapté aux entreprises cherchant à intégrer l’IA dans leurs processus existants.
    – Google Cloud AI : Propose des outils d’IA pour l’analyse de données, la reconnaissance d’images, et le NLP. Google Cloud est connu pour sa facilité d’utilisation et son intégration avec d’autres outils Google.
    – IBM Watson : Une solution d’IA robuste pour les (grandes) entreprises cherchant à développer des applications intelligentes, notamment dans les domaines de la santé, de la finance et du service client.
    Pour gérer le Service Client
    – Zendesk AI : Une solution d’IA intégrée à Zendesk pour automatiser les réponses aux clients, analyser les sentiments et améliorer l’expérience client.
    – Drift : Un outil de chat intelligent qui utilise l’IA pour engager les visiteurs du site web en temps réel et générer des leads.
    Pour le Marketing et les Ventes
    – HubSpot : Une plateforme de marketing automation qui utilise l’IA pour personnaliser les campagnes, prédire les tendances et optimiser les stratégies de vente.
    – Salesforce Einstein : Une solution d’IA intégrée à Salesforce pour prédire les ventes, automatiser les tâches et personnaliser les interactions clients.
    Pour la Gestion des Ressources Humaines
    – Workday : Une plateforme de gestion des ressources humaines qui utilise l’IA pour optimiser la gestion des talents, la planification de la main-d’œuvre et l’analyse des performances.
    – BambooHR : Un outil de gestion des RH qui utilise l’IA pour simplifier les processus de recrutement et de gestion des employés.
    Pour la Finance et la Comptabilité
    – Sage Intacct : Une solution de gestion financière qui utilise l’IA pour automatiser les processus comptables et fournir des insights en temps réel.
    – Xero : Une plateforme de comptabilité en ligne qui utilise l’IA pour simplifier la gestion des finances et des factures.
    Pour la Logistique et la Chaîne d’Approvisionnement
    – Blue Yonder : Une solution d’IA pour optimiser la gestion de la chaîne d’approvisionnement, la planification des stocks et la logistique.
    – Locus.sh : Une plateforme d’IA pour la planification des itinéraires et l’optimisation des livraisons.
    Pour la Cybersécurité
    – Darktrace : Une solution d’IA pour la détection et la réponse aux menaces en temps réel, adaptée aux PME cherchant à protéger leurs données et systèmes.
    – Zscaler Zero Trust Exchange : Sécurité Zero Trust avec IA pour surveiller le trafic réseau.
    – Cisco SecureX : Plateforme intégrée avec IA pour automatiser les réponses aux menaces.
    – CrowdStrike Falcon : Protection avancée des endpoints avec analyse comportementale et détection des menaces basée sur l’IA.
    – Microsoft Defender for Endpoint : Intégration avec Azure et IA pour identifier les menaces sur les terminaux.
    – SentinelOne Singularity : IA autonome pour prévenir, détecter et répondre aux menaces.
    Pour la Création de Contenu
    – Jasper.ai : Un outil d’IA pour la génération de contenu textuel, utile pour les PME dans le marketing de contenu.
    – Canva (avec IA intégrée) : Une plateforme de design graphique qui utilise l’IA pour simplifier la création de visuels.

    De manière générale, dans le cas d’une PME en France, il est essentiel de choisir une solution d’IA qui s’intègre facilement à ses outils existants et qui répond à ses besoins spécifiques. Les solutions cloud sont souvent de bons points de départ. Pour les entreprises cherchant des solutions locales, de nombreuses startups françaises ses sont créées et peuvent offrir des avantages en termes de support et de conformité aux réglementations locales.

    Pour quelle raison DeepSeek ne fait pas partie de cette liste ?

    DeepSeek est une entreprise spécialisée dans l’intelligence artificielle, notamment dans le domaine de la recherche et du développement de solutions avancées en IA. Cependant, il n’est pas mentionné dans la liste précédente pour plusieurs raisons possibles :

    Manque de visibilité et de notoriété : Bien qu’innovant, cette solution n’est pas aussi largement reconnu ou utilisé que d’autres solutions plus établies comme celles proposées par Microsoft, Google, ou IBM. Les entreprises mentionnées dans la liste ont une présence mondiale et sont souvent les premières recommandées pour les PME en raison de leur popularité et de leur support étendu.
    Spécificité des Solutions : DeepSeek pourrait se concentrer sur des niches ou des applications spécifiques de l’IA qui ne sont pas directement alignées avec les besoins généraux des PME. Par exemple, si DeepSeek se spécialise dans des domaines comme la recherche médicale, la finance quantitative, ou d’autres secteurs très spécialisés, il pourrait ne pas être immédiatement pertinent pour une PME cherchant des solutions d’IA plus généralistes.
    Accessibilité et Intégration : Les PME recherchent souvent des solutions d’IA qui sont faciles à intégrer dans leurs systèmes existants et qui ne nécessitent pas une expertise technique approfondie. Si DeepSeek nécessite une configuration complexe ou une expertise spécifique, il pourrait ne pas être aussi accessible pour les PME que d’autres solutions plus user-friendly.
    Support Local et Langue : Les PME en France peuvent privilégier des solutions qui offrent un support local en français et qui sont conformes aux réglementations européennes en matière de données (RGPD). Si DeepSeek ne propose pas un support localisé ou n’est pas bien connu sur le marché français, il pourrait ne pas figurer en tête de liste des recommandations.
    Écosystème et Partenariats : Les entreprises comme Microsoft, Google, et Salesforce ont des écosystèmes étendus et des partenariats avec de nombreux autres outils et services que les PME utilisent déjà. Cela facilite l’intégration et l’adoption de leurs solutions d’IA.

    DeepSeek pourrait bientôt être pertinent.

    Si DeepSeek propose des solutions innovantes et adaptées aux besoins des PME, il pourrait certainement figurer dans une liste mise à jour. Par exemple, si DeepSeek offre des outils d’IA pour l’automatisation des processus, l’analyse de données, ou le service client, et qu’il est facile à intégrer avec un support local en France, il pourrait être une excellente option pour les PME françaises.

    Conclusion : Sauf si les pays, comme l’Italie dernièrement, décide d’interdire l’utilisation de DeepSeek sur leur territoire, il est vraisemblable que cette IA deviennent avec un temps, une solutions autant utilisée et reconnue que ChatGPT, CoPilot ou Gemini.

    Solution hybride : IA locale + IA en ligne

    Une solution hybride entre une intelligence artificielle (IA) locale déconnectée d’Internet et une solution en ligne peut offrir le meilleur des deux mondes : la sécurité et la confidentialité des données grâce à l’IA locale, ainsi que la puissance de calcul et les mises à jour régulières d’une solution cloud.

    Les entreprises pourraient utiliser un serveur local pour exécuter des modèles d’IA en temps réel sur ses données sensibles, tout en envoyant utilisant une IA en ligne dont les données seraient anonymisées.

    Cette solution aurait ainsi le mérite de respecter la confidentialité des données (qui ne quittent jamais les dispositifs locaux).
    Les données moins sensibles ou les tâches nécessitant une grande puissance de calcul sont ainsi envoyées sur les plateformes en ligne.

    Une solution hybride entre une IA locale et une solution en ligne peut offrir un équilibre optimal entre sécurité, performance, et flexibilité. La gestion des données sensibles se fait sur fait avec une IA localement ; Les requêtes standards sans enjeux stratégiques pour l’entreprise, mais nécessitant de la puissance de calculse font via des solutions en ligne.

    Les PME peuvent choisir parmi différentes approches en fonction de leurs besoins spécifiques, de leur infrastructure existante, et de leurs contraintes réglementaires.

  • Comment installer un outil d’intelligence artificielle en 10 minutes ?

    Comment installer un outil d’intelligence artificielle en 10 minutes ?

    Un titre volontairement provocateur qui me ferait passer pour un expert en IA. C’est loin d’être le cas ; même si je travaille avec les environnements disponibles en lignes comme ChatGPT (depuis novembre 2022), Gemini ou CoPilot. Les fameuses 10 minutes ont été rendues possibles grâce aux recherches fondamentales des experts en langages neuronaux depuis 15 ans. J’ai peu de mérite.

    Si ce que je vais décrire ci-dessous permet à presque tout le monde d’installer une IA en local sur un PC-Mac-Linux, chez soi à la maison ou dans son entreprise, en 10 minutes. Je passe sous silence volontairement le temps que j’ai passé à :
    – Comparer les solutions,
    – Choisir le système d’exploitation cible,
    – Identifier les outils d’IA pré entraînés parmi les modèles prêts à l’emploi via les bibliothèques accessibles en ligne.
    En résumé, 6 mois de recherche sur internet, d’échanges avec des experts, pour trouver une solution répondant à divers cas d’utilisation (traitement du langage naturel, génération de texte, classification, etc.).

    Des mois de recherche, mais aussi de tests, d’essais, et d’échecs. A plusieurs reprises, l’envie de tout arrêter. Et puis la solution…

    Une solution facile

    Pour ceux qui veulent des détails sur les caractéristiques techniques permettant la mise en place, je vous renvoie vers ce lien qui spécifie les conditions minimum (caractéristiques techniques). Sinon, pour simplifier, il vous faut une machine assez neuve (même si… voir la configuration que j’ai utilisé), avec une carte graphique, et de l’espace disque.

    Considérant que mettre en place un outil d’intelligence artificielle en local nécessite une bonne compréhension de l’infrastructure, des outils de développement, ainsi que des algorithmes d’apprentissage automatique, j’ai choisi la facilité : JAN.

    Ce choix s’inscrit dans un processus de simplification de mise en place d’un outil d’intelligence artificielle en local :
    – Plus besoin de ré entraîner des modèles à partir de zéro ;
    – Economie de temps et de ressources.

    Mais il existe des nombreuses autres solutions permettant de rapidement expérimenter et développer des applications basées sur des modèles de génération de texte et de dialogue.

    JAN – http://www.jan.ai – se présente comme une équipe de chercheurs et d’ingénieurs en IA orientés open-source, en mode start-up avec la volonté de trouver prochainement un business model équilibré. Pour les seniors, dont je fais partie, ça ressemble à des modèles comme RedHat, croisé avec la démarche de Linus Torvalds (inventeur/promoteur de Linux).

    Une IA locale pour quoi faire

    Il existe deux réponses possibles pour expliquer les raisons poussant à avoir besoin d’une version locale. Il y a ceux qui veulent voir ce que ça fait. Pourquoi pas. Et les autres.

    Les entreprises pourraient faire partie de cette deuxième catégorie. Des entreprises qui souhaitent mettre à disposition de leurs collaborateurs une IA pour répondre à aux besoins métier. Pour les accompagner dans leur activité ; ou Sécuriser les données qui sont analysées.

    Dans la mesure où certaines informations doivent rester interne à l’entreprise, disposer d’une IA localement permet ainsi à tous les collaborateurs de bénéficier de la puissance de réponse d’une IA sans s’inquiéter (ou sans inquiéter le chef d’entreprise) de ce que deviennent les informations et comment elles sont récupérées : tout reste en interne.

    A ce propos, Cap Gemini avait fait en avril 2024 une étude sur les perspectives d’utilisation des outils de génération actuelles et à venir. Il en résulte que nombre de collaborateurs utilisent déjà l’IA sans l’approbation de l’entreprise.

    Source : Capgemini Research Institute, Generative AI in Software Engineering, Senior Executive Survey, April 2024

    La procédure d’installation : téléchargez l’exécutable et laissez vous guider

    Les sources sont disponibles sur jan.ai en diverses versions selon le système d’exploitation cible.

    Une fois enregistré en local, vous exécutez l’installeur.

    C’est presque tout ce qu’il y a à faire. Reste l’étape du choix du SLM (Small language Model) en cliquant sur « Explore The Hub » et parmi l’ensemble des IA disponibles, l’outil identifie ceux ayant la meilleure performance pour la machine sur lequel vous aurez choisi d’installer l’IA. Les plus téméraires pourront même choisir un modèle qu’ils auraient trouvé ailleurs avec l’option « Import Model ».

    Les 10 minutes ne seront sans doute pas encore écoulées avant que vous puissiez faire votre premier prompt. Pour l’initialisation il vous faudra écrire « Hi ». Une obligation issue du fait que le modèle est à l’origine en Anglais. Puis de lui demander de basculer dans la langue qui vous convient le mieux.

    La promesse d’une IA locale vs la réalité

    Votre IA est installée, et vous pouvez localement lui poser des questions. Selon le modèle que vous aurez choisi, les réponses seront plus ou moins élaborées. Pour rappel, ChatGPT dispose de plus de 175 Milliards de paramètres ; la version en locale aura sans doute au mieux 9 Milliards de paramètres.
    Pour résumé la situation, vous disposez d’un avion de tourisme ; ne lui demandez pas les performances et les qualités techniques d’un avion de chasse.

    Concernant, la promesse du tout local, j’ai voulu la mettre à l’épreuve. Et, bien que sceptique quant à l’argument marketing, je me suis trompé. Dès la 2ème question posée, le câble internet était débranché et vérifié que la connexion WiFi était inactive. Et, en effet : ça marche.

    Sans rentrer dans les détails techniques, je dois tout de même préciser que lors de ma première installation, je n’avais pas intégrer de carte graphique ; il en avait résulté que les réponses étaient transmise à la vitesse de 1,49 token par seconde. Pour simplifier 1 token équivaut à 1 mot ; J’avais donc des réponses à 90 mots par minute. Pour comparer, les recherches ont montré que la vitesse de lecture moyenne pour les adultes est comprise entre 220 et 350 mots par minute, selon le niveau de concentration et la maîtrise de la langue.

    J’ai donc rajouté une carte graphique (voir configuration technique), et suis passé à 32 tokens par seconde (1920 mots par minutes). Résultat largement acceptable.

    Pour comparaison, ChatGPT réponds à un rythme d’environ 100 à 200 tokens par seconde, en fonction de la complexité de la réponse et du type d’interaction.

    Une IA répondant aux besoins métiers spécifiques : le RAG

    Le RAG signifie Retrieval-Augmented Generation (Génération augmentée par la récupération d’informations). Cela permet d’aller chercher des informations spécifiques et à jour qui ne sont pas forcément contenues dans le modèle pré-entraîné de l’IA.

    C’est finalement ce que vont chercher les entreprises. Adapter la réponse à des cas métiers spécifiques. Répondre à des questions complexes. Avoir une IA qui colle à leur métier. Les comptables, les avocats, les commerciaux en général seront les populations parmi les plus intéressées pour vouloir en disposer. Le secret des affaires et le besoin de garder les documents confidentiels en interne leurs feront préférer les versions locales aux versions en lignes.

    Et ça tombe bien car JAN propose l’option RAG…. Mais…

    Les reproches à faire à JAN

    Le RAG ne marche pas encore complètement en version Windows. Je teste depuis 1 semaine diverses solutions. Aujourd’hui, JAN est capable d’intégrer de nouveaux documents, mais les « oublie » dès qu’on redémarre l’application. Et en complément, les documents ne peuvent être que du texte. Oubliez l’analyse de graphique, ou de photos.

    En parallèle, au-delà des lacunes normales du fait du plus faible nombre de paramètres qui ont permis d’entrainer l’IA qui vous installerez, JAN se remet en Anglais dès qu’il se trouve face à des questions auxquelles il ne sait pas répondre, comme le montre la copie d’écran ci-dessous. C’est un détail ; mais c’est agaçant.

    En clair, passé le moment durant lequel il est étonnant de voir à quel point l’IA s’installe et s’utilise facilement, reste le besoin en l’état. Il y en aura peu. Les versions en ligne suffisant largement.

    Par contre en version amélioré par RAG, les entreprises devraient s’y pencher. Lancer un projet d’IA locale permettra d’améliorer le travail des équipes. Et les performances globales des entreprises qui auront su innover avant la concurrence.

    Caractéristiques techniques minimum pour installer une IA locale

    JAN est une plateforme d’IA fonctionne localement sur divers systèmes : Mac équipés de processeurs M1/M2/M3, Windows et Linux. JAN offre la possibilité de faire tourner des modèles IA localement, comme Llama ou Mistral, sans connexion internet, garantissant ainsi la confidentialité des données. Il est également de connecter des API distantes comme celles d’OpenAI.

    Application 100% open-source, personnalisable avec des extensions pour adapter les fonctionnalités aux besoins spécifiques de l’utilisateur.

    Ci-dessous les paramètres conseillés pour JAN en local. NB : Pour ma part, je l’ai installé sur un PC en windows 10 pro x64, avec un processeur i3 4 cœurs, 8 Go de RAM, 300 Go d’espace disque, et une carte graphique NVidia GeForce RTX 3070. En clair, un processeur et une configuration destinés principalement aux tâches de bureautique et des usages légers en multitâche (sans la carte graphique). Loin de l’IA.

    Critère

    Détails

    Processeurs compatibles

    – Apple Silicon (M1, M2, M3)

    – Processeurs Intel et AMD compatibles avec x64 architecture, avec plusieurs cœurs

    – Optimisation pour GPU NVIDIA pour des modèles lourds (recommandé pour les tâches IA)

    – Possibilité de connecter à des APIs distantes si le processeur local est moins puissant

    Systèmes d’exploitation

    – macOS (Apple Silicon et Intel)

    – Linux (Debian-based, Ubuntu)

    – Windows (x64 architecture)

    RAM

    – Minimum : 8 Go

    – Recommandé : 16 Go ou plus pour des modèles plus complexes

    GPU recommandé (optionnel)

    – NVIDIA pour accélérer l’IA locale (CUDA supporté)

    Fonctionnalités clés

    – Fonctionnement local et hors-ligne avec des modèles open-source

    – Sécurité accrue avec stockage local de toutes les données

  • L’échec de la centralisation des achats de prestations informatique

    L’échec de la centralisation des achats de prestations informatique

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    Parce que l’informatique est une nécessité pour toutes les entreprises, les grands groupes ont compris qu’ils devaient se concentrer sur leur cœur de métier, et faire appel aux entreprises spécialisées dans l’informatique (ESN, SSII) pour les accompagner.  Et pour cela, ces grands groupes ont mis en place des contrats cadre. Avant cela, ils devaient faire appel à de multiples entreprises intervenantes, impliquant de l’administration et pouvant conduire à une hétérogénéité de prix et de compétences.
    Objectifs du contrat cadre : Avoir moins d’entreprises informatiques en interlocuteurs, homogénéiser les prix des prestations, et réduire les coûts par des économies d’échelle, et la réduction des doublons. Et en même temps, bénéficier des technologies avancées, aux innovations tout en contrôlant la performance des prestataires et garantir que les services répondent aux attentes.

    Rationaliser les achats de prestations informatiques est donc une stratégie essentielle pour les grandes entreprises, visant à optimiser les coûts, améliorer l’efficacité, gérer les risques, favoriser l’innovation, assurer une meilleure qualité des services et optimiser les ressources internes. Cela leur permet de rester compétitives dans un environnement technologique en constante évolution.

    Le processus de référencement des futurs prestataires informatiques… le graal pour les grands comptes

    Pour avoir participé à la mise en place d’un référencement pour le compte d’une entreprise du CAC 40 (précision : uniquement sur le périmètre restreint des prestations de niveau expert : plusieurs millions d’euros en jeu), j’ai pu voir en interne les raisons qui avaient poussé à cette décision et les objectifs souhaités à atteindre. Il s’agissait d’avoir en frontal une seule entreprise (au lieu de 5), de mettre en place des engagements de service (exemple : quand un service de l’entreprise demande une compétence sur la dernière version d’Oracle, ou d’Unix, il ne s’entendra plus répondre de la part de l’expert : pas le temps…), et d’économiser 20% sur les dépenses. [et j’ai pu avoir un feedback 4 ans plus tard sur ce qu’en avait retiré l’entreprise … j’en parle en conclusion].

    Le processus de référencement des futurs prestataires informatiques fut donc structuré et méthodique (je veux croire que c’est la norme), impliquant plusieurs étapes clés pour s’assurer que les prestataires sélectionnés répondaient aux besoins de l’entreprise en termes de qualité, de coût, de sécurité et de conformité.

    Il fallut donc, définir les besoins (quelles technologies), faire un cahier des charges (pour que les répondants comprennent les exigences techniques, fonctionnelles et opérationnelles), identifier les prestataires qui pouvaient répondre, puis faire des demandes de propositions (RFP request for proposal/RFQ request for quote), départager, et négocier le prix final, contractualiser, et enfin mettre en production. S’en sont suivies les phases de communication, la fin des contrats pour ceux qui étaient en place avant, et l’élaboration d’un système de suivi pour évaluer la performance des prestataires de manière continue et assurer le respect des termes contractuels.

    Le dilemme du prisonnier qui conduit à l’échec dans certains cas

    https://fr.wikipedia.org/wiki/Dilemme_du_prisonnier

    Partant d’un constat que les grandes ESN maitrisent leur sujet, les grands groupes estiment qu’elles sont les plus à même de fournir une sous-traitance informatique de qualité. Sauf que, comme pour la théorie du dilemme du prisonnier où chacun prend ses décisions en fonction de ses propres intérêts, il peut en ressortir que l’intérêt global et donc le gain pour le groupe (client) est négatif.

    Chacune des parties prenantes de ce type d’opération veut défendre ses intérêts:

    L’entreprise (Cliente) veut réduire ses coûts, sécuriser son informatique et être plus efficace sur son cœur de métier.
    Le prestataire informatiques (ESN) veut de nouveaux contrats, accroître sa part de marché, établir des relations sur le long terme avec des clients stratégiques, améliorer ses services et ses offres.
    Le département achat interne de l’entreprise qui lance la procédure de référencement veut optimiser, mieux négocier (moins cher), avoir un contrôle budgétaire, et toucher une prime de résultat.
    Le département informatique, qui consommera la prestation informatique veut des ressources fiables et performantes, disponibles immédiatement.
    Enfin, les utilisateurs finaux (employés du grand groupe) veulent pouvoir bénéficier de solutions informatiques performantes et adaptées à leurs besoins quotidiens, accompagnés par des prestataires qui leur apportent soutien et connaissances techniques.

    L’objectif commun est ainsi d’assurer la réussite et l’efficacité des opérations informatiques de l’entreprise. Et ça marche dans 80% des cas. Pour des prestations informatiques réalisées par des salariés entre 25 et 45 ans pour des besoins standard récurrents : développeurs, chef de projet, coordinateurs.

    Quel est l’âge du capitaine et de ses matelots

    Pour comprendre pourquoi dans 20% des cas le référencement peut générer des pertes financières pour l’entreprise cliente, il faut s’intéresser à la typologie des profils des salariés des ESN.
    J’exclus volontairement le scénario où l’entreprise a fait un choix inadéquat de prestataire (ça arrive) en ayant voulu trop négocier à la baisse le prix, l’ESN qui a remporté le référencement n’est pas à la hauteur et ne peut fournir les compétences attendues.

    Les Entreprises de Services du Numérique (ESN) recrutent un grand nombre de professionnels. Pour deux raisons : répondre aux besoins de ses clients en matière de technologie et de services informatiques, et gérer le turn-over (entre 10 à 30% de démission tous les ans).

    La majorité des salariés correspond à une main-d’œuvre jeune. Le secteur de l’informatique évolue rapidement, nécessitant des compétences actualisées et une grande adaptabilité. Des caractéristiques souvent associées aux jeunes diplômés.

    La moitié des effectifs des ESN est âgée de moins de 35 ans

    étude de l’OPIIEC (Observatoire Paritaire des Métiers du Numérique, de l’Ingénierie, des Etudes et du Conseil et de l’Événement)

    Les jeunes diplômés sont souvent embauchés à des postes de débutants et reçoivent une formation complémentaire en interne pour répondre aux besoins spécifiques des clients des ESN.

    Lorsque que l’acheteur du grand groupe demande, de la part du service informatique, un prestataire de type expert, ou senior, les choses se compliquent. Et deux choix s’offrent à l’ESN pour faire plaisir à sont client :

    • Cas numéro 1: l’ESN sélectionne parmi ses juniors (faute de candidats disponibles) un salarié qui semble pertinent et le présente à l’acheteur en tant que profil expert/senior en espérant que ça passe. Si c’est le cas, jackpot pour l’ESN ; le profil du candidat a un salaire de junior mais sera vendu au prix d’un senior.
    • Cas numéro 2 : l’ESN n’a aucun profil sous la main ; elle va chercher un freelance, appliquer un taux de marge de 20 à 30% en plus de ce que réclame l’indépendant, accompagné du cv d’un profil junior. L’acheteur aura alors le choix entre un profil junior au prix souhaité par l’acheteur et celui d’un profil senior mais beaucoup plus cher (du fait du mark-up). Résultat probable, l’acheteur choisit le junior pour rester en phase avec son budget. Jackpot pour l’ESN… un salaire de junior vendu au prix d’un senior.

    Dans ces deux cas, la relation commerciale se passe entre l’acheteur et le commercial de l’ESN. Ils sont la plupart du temps issus d’une école de commerce, et ont de faibles compétences en informatique, mais se comprennent sur un sujet : le budget disponible.
    Le prestataire pourrait s’apparenter à « un kilo de viande », que l’acheteur achète au meilleur coût ; Et du fait de son niveau de connaissance en informatique, l’acheteur ne peut que comparer les prix des cv que l’ESN lui soumet

    Et le grand perdant de l’histoire, ce sera le service informatique qui se plaindra du niveau du prestataire, mais qui sera dans l’incapacité de négocier un meilleur prix pour avoir le bon profil, du fait du contrat cadre négocié lors du processus de référencement.

    Le coût de la perte identifiée par le cas d’un prestataire qui est choisi mais est remplacé 3 mois après, n’est jamais comptabilisé ; ni le coût d’un éventuel retard dans un projet ou un programme stratégique. Or cela permettrait de mesurer le coût global de la prestation sur la durée.

    Les solutions pour sortir de l’impasse

    Les solutions malheureusement mises en œuvre lorsque les grands groupes constatent ces dérives sont souvent les mêmes : Réaliser des audits pour évaluer la performance des prestataires et identifier ceux qui ne répondent pas aux attentes ; Revoir et renégocier les termes contractuels.
    En d’autres termes, supprimer les prestataires qui ne font pas l’affaire, les remplacer par de nouveaux, et faire encore baisser les prix .…Les mêmes choix entrainant les mêmes conséquences….

    Il reste alors pour l’entreprise la possibilité d’investir sur la formation et du développement interne, ou d’internaliser les ressources clefs par le recrutement des prestataires

    Ou alors être disruptif, et rompre avec la logique de massification habituelle dans le processus de référencement des ESN. Cela passera par la diversification des prestataires et l’innovation. De nombreuses plateformes sont apparues depuis quelques années, avec pour objet de fédérer les indépendants (Malt anciennement Hopwork ; Crème de la Crème ; LeHibou ; etc). L’avantage ici est que leur modèle économique diffère des ESN conventionnelles, ce qui in fine se traduit par un taux de marge appliqué au prix du freelance, moindre. Et un coût contenu pour l’acheteur.

    A faire et à retenir

    Sortir de l’impasse nécessite une approche proactive et flexible, combinant une évaluation rigoureuse des prestataires, des ajustements contractuels, une gestion proactive des relations, et un renforcement des capacités internes. En mettant en œuvre ces solutions, l’entreprise peut non seulement résoudre les problèmes actuels, mais aussi établir des bases solides pour des collaborations plus efficaces et bénéfiques à long terme.

    Et concernant le sujet sur lequel j’avais travaillé :

    • La majorité des ressources informatiques expertes a été externalisée à l’étranger
    • L’entreprise a économisé 30% la première année (comparé à la situation avant référencement)
    • L’acheteur a obtenu une prime pour avoir fait économiser de l’argent à son employeur
    • L’entreprise a dépensé autant que ce qu’elle payait avant référencement, la deuxième année
    • L’entreprise a dépensé 30% de plus que ce qu’elle payait avant référencement, la troisième année

    En résumé, une situation neutre pour l’entreprise. A la différence que les prestataires initiaux ont été remplacés par des profils certes experts, mais surtout basés à l’étranger, donc moins chers.

  • Pourquoi les PME devraient préparer leurs collaborateurs à l’utilisation de l’Intelligence Artificielle

    Pourquoi les PME devraient préparer leurs collaborateurs à l’utilisation de l’Intelligence Artificielle

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    En l’espace de 9 ans (2015 date de la création d’OpenAI – entreprise à l’origine de ChatGPT), l’Intelligence Artificielle est au cœur de la transformation des usages informatiques. Au départ, à destination d’un public technophile,  il s’est généralisé et est en passe de devenir l’outil qui va transformer les entreprises.
    A titre d’exemple, ce qui se passe aujourd’hui ressemble à l’apparition et à la généralisation des sites internet à la fin des années 90, et à l’essor des sites e-commerce à partir des années 2000 ;  Une compréhension initialement détenue par des informaticiens, mais que tout un chacun aujourd’hui (et les entreprises évidemment) comprend et en mesure l’impact.

    historique de l'évolution de l'intelligence depuis la création d'openAI en 2015

    Les prochaines années vont accélérer les potentialités de l’IA et pour une grande partie des entreprises qui n’auront pas intégrer ce paramètre, elles verront au mieux une diminution de leurs parts de marché, au pire elles disparaitront.

    Et pour preuve que les entreprises devraient s’y pencher, c’est que même le gouvernement Français s’est lancé dans l’expérimentation depuis octobre 2023 (communiqué de presse sur https://www.modernisation.gouv.fr/files/2023-12/2021213_CP_IA_letatsengage.pdf) et qu’il en est ressorti Albert, l’IA générative des services fiscaux.

    Intégrer les collaborateurs aux nouveaux outils

    Qu’ils soient gratuits, ou payants, ils offrent des opportunités aux collaborateurs. Quelques exemples illustrent les raisons qui devraient pousser les PME à envisager d’expliquer à leurs collaborateurs comment utiliser les ChatGPT, Copilot, Gemini et autres solutions.

    L’amélioration de la productivité est un des éléments le plus évident. Cette amélioration touche en priorité les entreprises de service. L’IA serait alors utilisée pour automatiser certaines tâches répétitives ou administratives, permettant aux collaborateurs de se concentrer sur des tâches à plus forte valeur ajoutée.
    Les boulangers, menuisiers et autres électriciens pourraient a priori ne pas être concernés…. A tort. Imaginez un boulanger qui publie chaque jour une photo de ses gâteaux les plus appétissants sur les réseaux sociaux…

    Les outils d’IA facilitent également la prise de décision. En mettant à disposition des réponses rapides et souvent pertinentes, ils peuvent devenir les assistants personnels des collaborateurs, et accélérer la prise de décision. Les domaines tels que le service client, le marketing ou la gestion de projet seraient, s’ils n’ont pas déjà pas pris l’initiative sans en avertir le chef d’entreprise, les cibles parfaites pour s’approprier l’utilisation.

    Les entreprises ayant pour activité la formation ou l’apprentissage y trouveraient peut être une opportunité pour permettre à leurs collaborateurs de faire de la veille technologique, de développer leurs compétences et de renforcer leur capacité à s’adapter à un environnement professionnel en évolution constante.

    Améliorer ou mettre au point des communications internes et externes à l’entreprise. L’IA peut servir de support pour rédiger des contenus cohérents (des documents, des courriels ou des rapports).

    Stimuler l’innovation et créativité et réduire les temps durant lesquels les collaborateurs pourraient ressentir le syndrome de la page blanche. Il s’agira là de faciliter le travail des collaborateurs en liaison avec le marketing, la publicité ou le commerce. De cette utilisation pourrait surgir pour les collaborateurs de nouvelles façons d’aborder des thèmes maitrisés par l’entreprise, mais qui déboucherait sur des idées innovantes. En cela, l’IA pourrait stimuler la croissance et la compétitivité de l’entreprise.

    les différents usages liés à l'intelligence artificielle ; faire un résumé créer des images ; trouver des idées

    En résumé, ce que peut apporter les ChatGPT, CoPilot et autres Gemini, ce sont des modules d’assistance. A l’image de ce qui a permis d’accélérer les usages depuis toujours : la calculatrice, l’ordinateur, le fax, le téléphone….toutes les solutions issues de l’innovation qui facilitent le travail.

    Qui sont les acteurs qui fournissent les solutions

    Depuis le lancement de ChatGPT par OpenAI, il existe de nombreuses solutions disponibles sur le marché. Elles sont payantes ou gratuites. Réservées aux développeurs ou à destination d’un plus large public. Intégrées à la suite bureautique Office365 ou seulement sur des sites internet.

    Les sites les plus facilement accessibles (gratuits) sont principalement les suivants :
    ChatGPT : https://chat.openai.com/
    CoPilot : https://copilot.microsoft.com/
    Google Gemini : https://gemini.google.com/app

    Mais il y en a beaucoup d’autres…
    L’illustration ci-dessous rassemble les forces en présence au début de l’année 2024. L’IA ayant cette propension à évoluer très vite, il est vraisemblable que la liste des entreprises qui y figure aura largement évoluée dans les mois à venir.

    Les entreprises fournissant des solutions d'intelligence artificielle : OpenAI, CoPilot, Google, Mistral AI, Anthropic, Llama, HuggingChat, EleutherAI, Perplexity, Deepl, Midjourney

    Poser la bonne question ou l’art du prompt

    Parce que ces outils ont été développés par des informaticiens, de nombreux utilisateurs continue à utiliser un langage orienté développeur. Ainsi, il est souvent question de générer un prompt. En termes plus basique, il s’agit de poser une question en fournissant des éléments de contexte et en étant précis.

    A titre d’exemple, si vous demandez à ChatGPT quel temps il fait, il sera incapable d’y répondre car les éléments sont variables et propre à une localisation donnée.
    L’intérêt de faire appel à l’IA est ailleurs. Il tient plutôt dans sa capacité à synthétiser et à apporter une information plus (ou moins) complète provenant de multitudes sources d’information.  

    A ceux qui n’ont pas encore posé de question à ChatGPT, Gemini ou CoPilot, je conseille toujours de demander comment l’IA peut directement les concerner :
    Quel va être l’impact de l’Intelligence Artificielle dans « préciser le secteur d’activité, le métier, ou  la fonction » ?
    La force ensuite de ces outils est d’aller plus loin dans le questionnement, en s’appuyant sur la première réponse obtenue. Le contexte ayant été fourni dès le début, il n’est plus nécessaire de le préciser et à partir de là chacun peut alimenter une conversation avec l’IA. Chacun peut alors par itération, expérimenter la puissance des réponses apportées.

    Alerter sur la véracité les informations obtenues

    Mais il appartient aux collaborateurs dans l’entreprise, de vérifier les réponses obtenues en croisant avec d’autres sources d’information. Certains sujets peuvent être plus soumis à l’erreur, que d’autres. En raison de leur complexité ou de leur manque de données fiables, ils donnent lieu à des interprétations controversées. L’histoire a démontré par le passé que les experts eux-mêmes peuvent parfois commettre des erreurs. Dans de tels cas, les réponses peuvent être plus incertaines.

    Les sujets clivant en font partie. En prenant le sujet du réchauffement climatique, il y a encore 10 ans, tous les scientifiques n’étaient pas tous d’accord pour dire que le dérèglement climatique était lié à l’activité humaine.

    Les risques liés à l’IA

    Certains l’on comprit depuis le début. Toute demande effectuée, sur les sites-plateformes d’IA ou via directement le bouton CoPilot intégré aux logiciels de la suite Microsoft 365, est envoyée pour analyse sur un groupe de serveurs distants, puis le résultat est renvoyé sous forme de réponse à l’utilisateur.
    De fait la question que les entreprises et leurs collaborateurs doivent se poser est : que se passe-t’il si les prompts générés contiennent des données internes qui relèvent du secret des affaires ? Quels sont les risques pour l’entreprise vis à vis de ses concurrents ?

    Le risque de divulgation d’informations confidentielles ; De même que, si le collaborateur d’une entreprise discute pendant un week-end barbecue avec son voisin (qui accessoirement travaille pour un concurrent) de sujets confidentiels liés à son travail, poser des questions à ChatGPT en fournissant en entrée des éléments secrets de l’entreprise implique que ces informations pourraient être divulguées à des tiers, y compris des concurrents

    Le risque perte de confidentialité et de propriété intellectuelle. Mal utilisée, l’IA peut compromettre les stratégies commerciales, des plans de produits ou d’autres informations critiques de l’entreprise. Il en résulterait alors une perte de compétitivité vis-à-vis des concurrents.

    Le risque de fuite de données. Dans le cas où, en tant qu’utilisateur il est impossible de savoir comment sont protégés les serveurs utilisés pour répondre aux questions, il est possible que les données confidentielles soient compromises. Cela pourrait alors entraîner des conséquences légales et des répercussions négatives sur la réputation de l’entreprise.

    Enfin, dans le cas où des concurrents parviendraient à accéder aux informations confidentielles divulguées par le biais d’une plateforme d’IA, ils auraient un avantage concurrentiel mettant en péril l’entreprise ayant fourni des données dans le cadre de questions/réponses alimentées par ses collaborateurs.

    Former et accompagner dans l’utilisation

    Apprendre aux collaborateurs à générer sans risque des questions afin de correctement contrôler l’information transmise à l’IA. Telle est la mission des PME si elles veulent utiliser et bénéficier de la puissance des plateformes d’Intelligence Artificielle.

    Et comme pour toute (r)évolution technologique, il importe d’accompagner les collaborateurs dans ce processus. L’objectif étant de faire monter en compétence, tout en atténuant les risques liés à la confidentialité des données.

    Pour cela, il est essentiel pour les entreprises de mettre en place des politiques et des protocoles stricts en matière d’utilisation de l’IA, de former les employés sur la gestion sécurisée des informations sensibles, et de mettre en œuvre des contrôles techniques pour garantir que les données confidentielles ne sont pas accidentellement divulguées.

  • La vulnérabilité des PME et TPE aux cyberattaques

    La vulnérabilité des PME et TPE aux cyberattaques

    Les cyberattaques et les ransomwares associés étaient jusqu’à présent exclusivement destinés aux grosses entreprises privées ou publiques. L’intérêt des attaquants étaient alors de subtiliser et/ou de crypter les données pour réclamer ensuite une rançon en échange de la restitution des données ou de la clef permettant de décrypter.

    Mais avec le temps les grandes entreprises ont su faire face. Elles ont développé des programmes de résistance aux cyberattaques. En conséquence, à l’image de l’évolution des espèces dans la nature, les attaquants se sont adaptés et ciblent dorénavant les plus fragiles, les moins bien préparées : les PME (Petites et Moyennes Entreprises) et TPE (Très Petites Entreprises). Ces dernières sont les plus vulnérables aux escroqueries et au piratage en ligne.

    Preuve que la situation inquiète, le gouvernement exhortent régulièrement les chefs d’entreprises à renforcer leur cybersécurité. Au travers de la BPI ou l’ANSI, il communique régulièrement auprès des PME/TPE pour qu’elles s’organisent face aux risques de cyberattaques.

    Jusqu’à présent les entreprises françaises ont pu éviter le chaos, mais le gouvernement et les experts ont averti que les petites entreprises restent fragiles dans ce domaine, car elles manquent de ressources et de connaissances pour se protéger des cyber-escrocs.

    Les attaques sont particulièrement dévastatrices pour les petites entreprises, qui subissent des atteintes à leur réputation et sont confrontées au dilemme de payer ou non la rançon. Les gouvernements recommandent de ne pas payer les criminels, car il n’existe aucune certitude que ces derniers respectent leur promesse et rendent les données à leurs propriétaires chefs d’entreprise.

    Pourquoi les PME/TPE sont démunies face aux cyberattaques ?

    Les PME et TPE, concentrées sur leur métier propre ont des ressources limitées en informatique, et manquent de connaissances spécialisées en matière de cybersécurité. Les principaux problèmes auxquels elles doivent faire face sont nombreux :

    1. Manque de ressources : Les PME et TPE ont souvent des budgets et des effectifs limités pour investir dans des mesures de sécurité appropriées. Elles peuvent ne pas disposer des ressources financières nécessaires pour mettre en place des systèmes de sécurité sophistiqués, recruter du personnel spécialisé ou former leurs employés à la sécurité informatique.
    2. Faible sensibilisation à la sécurité : Les PME et TPE peuvent manquer de sensibilisation et de compréhension des risques liés à la cybersécurité. Les propriétaires d’entreprises et les employés peuvent ne pas être conscients des bonnes pratiques de sécurité informatique, tels que la création de mots de passe forts, la protection des données sensibles ou la reconnaissance des techniques de phishing.
    3. Manque de mises à jour et de correctifs : Les petites entreprises peuvent négliger les mises à jour régulières des logiciels et des systèmes d’exploitation, ainsi que l’application de correctifs de sécurité. Cela laisse leurs systèmes vulnérables aux attaques exploitant des failles connues.
    4. Utilisation de logiciels obsolètes : Les PME et TPE peuvent continuer à utiliser des logiciels obsolètes ou non pris en charge, ce qui signifie qu’elles ne bénéficient pas des mises à jour de sécurité nécessaires pour protéger leurs systèmes contre les nouvelles menaces.
    5. Accès non sécurisé aux données : Les entreprises de petite taille peuvent ne pas mettre en place des mesures adéquates pour sécuriser l’accès à leurs données sensibles. Cela peut inclure l’absence de pare-feu, l’utilisation de mots de passe faibles ou partagés, ou l’accès non restreint aux informations confidentielles.
    6. Manque de sauvegardes régulières : Si une PME ou une TPE ne dispose pas de sauvegardes régulières de ses données, elle peut être plus vulnérable aux attaques de ransomware ou aux pertes de données catastrophiques. La récupération des données peut être coûteuse, voire impossible, sans des sauvegardes adéquates.
    7. Relations avec des tiers : Les petites entreprises travaillent souvent avec des fournisseurs externes, des sous-traitants ou des prestataires de services. Si ces tiers ne mettent pas en place des mesures de sécurité solides, cela peut entraîner une exposition aux cyberattaques à travers les canaux de communication ou les systèmes partagés.

    Comment identifier une cyberattaque ?

    La liste des attaques cyber est sans fin. Depuis 1989, date de la première apparition du ransomware Cyborg Trojan, les ransomware se nomment CryptoLocker, Winwebsec ou WannaCry. Les symptômes se ressemblent et sont généralement les suivants : Un écran d’ordinateur bloqué ou qui affiche un message d’erreur ; des fichiers qui ne s’ouvrent plus, ou qui contiennent des lettre incompréhensibles (chiffrement des données).

    Dans nombre de cas, les personnes qui les dirigent ou travaillent dans les PME/TPE ne sont pas pleinement conscientes des risques et n’ont pas les outils disponibles pour les atténuer.

    L’identification précoce d’une cyberattaque est essentielle pour minimiser les dommages potentiels. Voici quelques signes courants qui peuvent indiquer qu’une cyberattaque est en cours :

    1. Activité réseau suspecte : Des anomalies sur le réseau, telles que des connexions sortantes non autorisées, des pics de trafic inhabituels ou des communications vers des adresses IP suspectes. Des changements soudains dans les modèles de trafic peuvent être le signe d’une activité malveillante.
    2. Comportement anormal des systèmes : Des comportements inattendus des systèmes informatiques, tels que des redémarrages fréquents, une lenteur excessive, des pannes fréquentes ou des erreurs système inexpliquées. Ces signes peuvent indiquer la présence d’un logiciel malveillant ou d’une tentative d’intrusion.
    3. Alertes de sécurité : Avec des outils de sécurité tels que des pare-feu, des systèmes de détection d’intrusion ou des solutions de prévention des intrusions, identifier les alertes générées. Les alertes de sécurité peuvent indiquer des tentatives d’exploitation, des tentatives d’accès non autorisé ou d’autres activités suspectes.
    4. Accès non autorisé aux comptes : Des activités inhabituelles sur les comptes d’utilisateurs, comme des connexions à partir de lieux inhabituels, des changements de mots de passe non autorisés ou des activités de messagerie suspectes, peuvent indiquer une tentative d’accès non autorisé.
    5. Messages ou demandes de rançon : Les cyberattaques telles que le ransomware peuvent être annoncées par des messages de rançon qui demandent un paiement pour restaurer l’accès à vos données ou à vos systèmes.
    6. Modifications inattendues des fichiers ou des données : Des modifications non autorisées des fichiers, des dossiers ou des données, peuvent être le signe d’une intrusion ou d’une compromission ; fichiers corrompus, extensions de fichier modifiées ou données altérées.
    7. Signaux provenant d’employés : Les employés peuvent parfois remarquer des comportements ou des incidents suspects. Il importe de les encourager à signaler tout incident de sécurité ou tout comportement inhabituel dont ils sont témoins.

    Quelles sont les solutions à mettre en œuvre par les PME/TPE pour faire face aux cyberattaques

    Pour faire face aux cyberattaques, il est important de mettre en place un ensemble de solutions de cybersécurité pour protéger les systèmes, les données et les activités en ligne. Voici quelques mesures essentielles à prendre :

    1. Utilisation de logiciels de sécurité : Installez et maintenez à jour des logiciels antivirus, des pare-feu et des systèmes de détection d’intrusion sur tous vos dispositifs informatiques. Ces outils aident à détecter et à bloquer les logiciels malveillants, les attaques et les comportements suspects.
    2. Mises à jour régulières des logiciels et des systèmes d’exploitation : Assurez-vous que tous vos logiciels, systèmes d’exploitation et applications sont régulièrement mis à jour avec les derniers correctifs de sécurité. Cela réduit les risques liés aux vulnérabilités connues.
    3. Utilisation de mots de passe forts : Encouragez l’utilisation de mots de passe forts et complexes pour tous les comptes et les accès aux systèmes. Les mots de passe doivent être uniques, longs, inclure une combinaison de lettres, de chiffres et de caractères spéciaux, et être changés régulièrement.
    4. Authentification à deux facteurs (2FA) : Activez l’authentification à deux facteurs pour tous les comptes et les services qui le permettent. Cela ajoute une couche de sécurité supplémentaire en demandant une deuxième forme d’identification, comme un code généré sur un appareil mobile, en plus du mot de passe.
    5. Sensibilisation à la sécurité : Organisez des sessions de formation et de sensibilisation à la sécurité pour vos employés, afin de les informer sur les bonnes pratiques de sécurité informatique, comme la gestion des mots de passe, la reconnaissance des attaques de phishing et la protection des données sensibles.
    6. Politiques de sécurité et accès restreint : Établissez des politiques de sécurité claires et des procédures d’accès restreint pour les employés, en leur accordant uniquement les autorisations nécessaires pour effectuer leurs tâches. Limitez l’accès aux données sensibles uniquement aux employés qui en ont besoin.
    7. Sauvegardes régulières des données : Effectuez régulièrement des sauvegardes de toutes vos données importantes et assurez-vous qu’elles sont stockées en toute sécurité hors site. Cela permet de minimiser les pertes de données en cas de ransomware ou d’autres attaques.
    8. Surveillance du réseau : Mettez en place des systèmes de surveillance et de détection des intrusions pour surveiller en temps réel les activités réseau et détecter les comportements suspects. Cela peut aider à identifier rapidement les attaques et à prendre des mesures correctives.
    9. Gestion des correctifs : Maintenez une politique de gestion des correctifs pour vous assurer que tous les logiciels et les systèmes sont régulièrement mis à jour avec les derniers correctifs de sécurité. Automatisez si possible ce processus pour une meilleure efficacité.
    10. Évaluation régulière de la sécurité : Effectuez des audits de sécurité réguliers pour évaluer l’état de votre infrastructure informatique, identifier les vulnérabilités et prendre des mesures pour les corriger.

    Conclusion pour parer aux cyberattaques

    Les PME/TPE doivent avoir conscience de l’enjeu de la sécurité informatique et des cyberattaques qui inondent aujourd’hui les réseaux. Etablir des politiques et des procédures de sécurité claires dans votre organisation afin que les employés sachent comment signaler les incidents et à qui s’adresser en cas de soupçon de cyberattaque. La sensibilisation à la sécurité et la formation régulière du personnel aident à renforcer la capacité des entreprises à identifier et à répondre rapidement aux cyberattaques.

    Enfin, il est également recommandé de consulter des experts en sécurité informatique.

  • Ce qui est important à savoir lors de la collecte de données sur les clients

    Ce qui est important à savoir lors de la collecte de données sur les clients

    Alors que vous vous engagez sur la voie de l’amélioration de la gestion de la relation client, il est essentiel de se souvenir de quelques points clés liés à la confidentialité et à la sécurité des clients.

    Un seul faux pas dans ces domaines peut vous exposer, vous et vos clients, à un risque accru de violation de la sécurité. Pire encore, vos clients et le grand public peuvent perdre confiance dans votre capacité à protéger leurs informations.

    En tant que dirigeant d’entreprise, vous êtes responsable de la protection des informations personnelles de vos clients – c’est la loi… Il s’agit d’une obligation légale en vertu de la loi sur la protection de la vie privée RGPD. Lorsque vous n’avez plus besoin des informations personnelles de vos clients, vous devez les détruire ou les dépersonnaliser. Cela peut aller parfois jusqu’au déchiquetage des documents ou leur stockage dans une zone sécurisée.

    Voici trois points simples à garder à l’esprit lors de la collecte de données sur les clients :

    Le respect de la vie privée des clients est essentiel

    La France (suivant les directives de la communauté Européenne) dispose d’une politique de confidentialité stricte conçue pour protéger les citoyens contre l’utilisation abusive de leurs informations personnelles. Si vous n’avez pas encore examiné attentivement cette politique, il vous appartient d’en revoir les détails et de vous assurer que tous vos employés comprennent l’importance de préserver la vie privée des clients.

    Demandez toujours la permission à vos clients

    En tant que propriétaire d’entreprise, il vous incombe de toujours obtenir le consentement des clients avant de collecter, d’utiliser ou de divulguer leurs informations personnelles. Si vous ne vous conformez pas à la Loi sur la protection des renseignements personnels et aux autres principes de protection de la vie privée, votre entreprise s’expose à des pénalités financières, à des sanctions et à une réputation ternie dans le secteur.

    Investissez dans une solide protection de la sécurité des données

    Avec une protection de premier ordre de la sécurité des données, vous pouvez être sûr que les données de vos clients ne tomberont pas entre les mains d’un escroc ou d’un spammeur. Assurez-vous de travailler avec un fournisseur de CRM expérimenté et agréé qui dispose d’une protection de sécurité intégrée et éprouvée.

    Bien qu’il s’agisse d’une obligation légale, il est dans l’intérêt de vos clients que leurs données soient recueillies et conservées avec précision dans votre CRM. La meilleure façon d’atteindre ces objectifs est de faire appel à un expert en solutions CRM. Avec les conseils d’un leader du secteur, vous pouvez développer une stratégie CRM complète qui reflète les besoins uniques de votre entreprise.

  • L’importance des annonces Google pour les entreprises

    L’importance des annonces Google pour les entreprises

    Ces dernières années, le domaine du marketing a subi d’énormes changements, et les annonces Google sont intégrées à grande échelle dans cette transformation. En fait, Google Ads est l’une des méthodes de publicité en ligne payante les plus efficaces. Les annonces Google permettent aux entreprises d’atteindre les personnes qui utilisent Google pour rechercher des informations, des produits et des services spécifiques en ligne. Si vous en profitez pleinement, Google Ads peut vous envoyer un grand nombre de personnes qui veulent les produits que vous proposez. Si vous ne disposez pas actuellement d’un compte Google Ads pour votre entreprise, ou si vous n’utilisez pas pleinement votre compte Google Ads, vous devriez sérieusement envisager de tirer le meilleur parti de la plate-forme. Dans cet article, nous allons vous expliquer tous les principaux avantages de Google Ads pour les entreprises.

    Pourquoi l’utilisation de Google Ads est importante pour les entreprises ?

    Augmenter le nombre de prospects et de clients

    Google Ads est l’un des meilleurs outils pour générer des prospects. Si votre campagne est correctement configurée, il est possible d’envoyer des prospects très ciblés vers votre site Web, votre formulaire de recrutement ou d’autres ressources en ligne. Google Ads vous permet de vous concentrer sur les personnes qui recherchent les produits proposés par votre entreprise. Cela signifie que vous pouvez optimiser en permanence votre recherche afin que seules les personnes désireuses d’acheter vos produits ou services puissent accéder à votre site Web via cette plateforme.

    Flexibilité du marketing

    Les personnes qui utilisent Google Ads tous les jours vous feront savoir à quel point cette plateforme est flexible. Vous avez un contrôle total sur vos campagnes. Vous pouvez fixer le budget comme vous le souhaitez, vous pouvez activer et désactiver les annonces quand vous le voulez, vous pouvez cibler n’importe quel endroit, vous pouvez programmer les annonces pour qu’elles soient diffusées dans les créneaux horaires de votre choix. Les campagnes peuvent être facilement personnalisées pour cibler des types particuliers d’utilisateurs en ligne. Par exemple, les personnes peuvent être ciblées en fonction de l’emplacement, du type d’appareil qu’elles utilisent et du site Web auquel elles accèdent. (par exemple, Google search, youtube, Google Maps) L’activation ou la désactivation des campagnes n’a pas d’effet à long terme. Vous obtiendrez des résultats en temps réel et vous paierez pour ce que vous avez obtenu. Il est donc plus facile de prendre des décisions marketing rapides et de les exécuter.

    Un retour sur investissement élevé

    Google Ads ne vous permet de payer que pour les annonces sur lesquelles les internautes cliquent. Une fois les campagnes Google Ads optimisées, vous pouvez obtenir un retour sur investissement élevé, ce qui n’est pas toujours possible avec d’autres stratégies marketing. Toutefois, la recherche d’une approche adaptée à votre entreprise peut prendre un certain temps. Pour obtenir les meilleurs résultats, vous devez tester et suivre vos campagnes régulièrement. Google Ads est idéal pour cela en raison de sa transparence et de la disponibilité du contenu. Après avoir trouvé le domaine de la campagne qui offre un bon retour sur investissement, concentrez vos efforts et votre budget sur ces domaines. Si la campagne vous coûte de l’argent, abandonnez-la et commencez à chercher de nouvelles campagnes qui vous seront bénéfiques.

    Des résultats rapides et clairs

    Google Ads est réputé pour la rapidité et la clarté des résultats et des rapports de vos campagnes. Une fois que vous avez mis en place votre campagne avec des mots clés et des annonces, il ne faut que quelques heures pour qu’elle soit approuvée par Google. Une fois qu’elle est approuvée, les annonces commencent à être diffusées immédiatement aux personnes qui recherchent ce que vous offrez en utilisant les mots clés en question. Et vous pouvez obtenir les résultats en temps réel. Chaque fois qu’une personne voit votre annonce, clique dessus ou effectue une conversion, elle est immédiatement enregistrée sur la plateforme. En raison de la rapidité des résultats, Google Ads peut être très utile pour les objectifs de performance à court terme ou continus, les campagnes saisonnières et les offres spéciales comme le Black Friday.

    Il tire parti de sources de trafic formidables et exceptionnelles

    En raison de la puissance de marché et de l’énorme base de clients de Google, le géant de la recherche peut envoyer aux organisations une énorme quantité de trafic chaque jour, si ces organisations ont le plan financier nécessaire. Google accorde de l’importance à la présentation de contenus et de publicités pertinents, et l’organisation procède à l’élaboration et au perfectionnement des calculs de son outil de recherche sur le Web afin de créer les listes indexées et les promotions les plus importantes. Cela a un résultat bénéfique pour les organisations qui font de la publicité par le biais de Google Ads, car ces promotions envoient d’excellents prospects et visiteurs sur le site de votre entreprise, votre boutique en ligne, votre structure de sélection ou d’autres ressources en ligne. Les individus que Google vous envoie sont plus susceptibles que les individus provenant d’autres sources de devenir des clients, de s’inscrire dans votre liste d’adresses électroniques, de demander des données ou de faire tout ce que vous voulez qu’ils fassent.

    Vous en apprenez davantage sur votre marché

    Entrez dans la personnalité de vos meilleurs clients. En comprenant votre public, il est beaucoup plus simple de gérer les clients et de découvrir ce dont ils ont besoin. Cependant, il s’agit d’une tâche très difficile à réaliser et qui prend beaucoup de temps. Les techniques conventionnelles, comme les enquêtes et les réunions, produisent des résultats limités.

    Google Ads, quant à lui, permet d’obtenir des données sur la propension et les besoins des clients que les entrepreneurs d’autrefois n’auraient peut-être jamais imaginé. Une partie des informations importantes que Google Ads vous permet de découvrir sur vos clients comprend les mots-clés qu’ils utilisent pour découvrir votre site, leur région, les gadgets qu’ils utilisent, ainsi que les occasions et les jours où ils effectuent des recherches.

    Vous pouvez utiliser ces informations pour améliorer vos produits et services, ainsi que pour affiner vos efforts de marketing, afin de ne pas gaspiller de l’argent à promouvoir des personnes qui ne sont pas intéressées par ce que vous avez à offrir.

    Google Ads est probablement le dispositif de publicité le plus impressionnant jamais créé. Il gère un grand nombre de recherches effectuées par les internautes en permanence et offre ensuite aux entrepreneurs une chance intéressante de transformer un grand nombre de ces personnes en prospects et en clients.

    De nombreuses organisations sont découragées par le coût de la publicité sur Google Ads, en particulier si elles ne connaissent pas encore le fonctionnement de ce système. Néanmoins, si vous faites preuve de perspicacité dans votre méthodologie de promotion sur Internet, les compensations de Google Ads peuvent être colossales.

    Obtenir des résultats plus rapidement que le référencement

    L’optimisation des moteurs de recherche est à ce jour le fondement des sites Web les plus visités. Les articles et les pages que vous voyez en première page ne sont pas simplement rédigés avec des mots clés étudiés ; ils se trouvent également sur des sites qui ont accumulé d’innombrables backlinks depuis un certain temps (qui restent le principal élément de positionnement des pages).

    Il peut s’écouler un long moment avant que vous ne voyiez l’une de vos propres pages dans la première situation souhaitée pour un terme de recherche à mots clés expansifs. Quelques organisations ne la verront jamais.

    Créez une conscience de la marque

    Lorsque les gens entendent « Google Ads », ils pensent généralement à générer du trafic par le biais d’annonces payantes sur les pages de résultats des outils de recherche sur Internet. Cependant, les promotions de Google sont plus adaptables que cela. Elles peuvent également constituer un outil incroyable pour développer la notoriété d’une marque, en soutenant votre image, votre caractère, votre notoriété, etc., qui sont autant d’éléments importants pour établir la confiance de vos visiteurs. Plus vous refaites ces choses de manière fiable, plus votre image devient puissante et plus vous gagnez la confiance de vos visiteurs. En outre, la confiance est la chose qui vous procurera finalement des achats et des clients fidèles.

    Grâce à l’organisation de la recherche de publicités, même si les clients potentiels ne cliquent pas, ils voient votre image, votre slogan, ce que vous offrez, et tout ce que vous utilisez pour mettre en valeur votre duplicata et vos augmentations. En outre, grâce à l’organisation de l’affichage des annonces, vous pouvez même vous concentrer sur l’attention portée à la marque en décidant de montrer votre annonce à un plus grand nombre de personnes. Ces deux méthodologies permettent aux publicitaires d’augmenter le nombre d’abonnés de base de leur entreprise et, par conséquent, de renforcer son image.

    Acquérir plus de changements

    Au moment où Google choisit les promotions qui seront vues par les internautes, il tient compte de l’expérience de la page de présentation après le clic.

    Les réseaux de promotion qui ne se concentrent pas sur l’expérience des pages de présentation vous permettront de guider les internautes vers n’importe quelle page. Il s’agira généralement d’une page d’accueil, d’une page « à propos » – et cela épuisera rapidement votre plan de dépenses puisque les visiteurs préféreront ne pas chercher ce que vous leur avez garanti dans votre publicité.

    Pourtant, pour essayer de faire voir vos annonces sur l’organisation de Google, vous aurez besoin d’une page de destination post-clic exceptionnellement puissante derrière elles. En outre, lorsque vous construisez une page d’accueil post-clic profondément puissante, vous augmentez les dépenses publicitaires grâce à deux éléments spécifiques : la correspondance du message et le plan centré.

    Conclusion

    On constate régulièrement que Google Ads aide les entreprises à atteindre leurs clients cibles, à générer du trafic vers la page d’accueil et, finalement, à augmenter les ventes. Cette plateforme publicitaire peut soutenir votre entreprise, quels que soient sa taille, son budget ou ses objectifs publicitaires. Et ce qu’il y a de mieux avec Google Ads, c’est que vous avez la possibilité de contrôler et de surveiller le budget publicitaire et les performances de vos campagnes.

  • Mythes et idées fausses sur le référencement

    Mythes et idées fausses sur le référencement

    La plupart des mythes sont inoffensifs. Un chewing-gum met sept ans à être digéré. L’eau d’une rivière ne revient jamais. La foudre ne frappe jamais deux fois au même endroit. Malheureusement, on ne peut pas en dire autant de la plupart des mythes liés au référencement. La plupart d’entre eux sont les pires, qui vous conduisent à gaspiller du temps précieux, de l’argent et des ressources sur des choses qui n’amélioreront jamais le référencement. Voyons quelques-uns des mythes et idées fausses les plus célèbres en matière de référencement ;

    Le référencement est une arnaque

    De nombreux propriétaires d’entreprises qui n’ont aucune connaissance ou idée sur le référencement sont approchés par des sociétés de marketing qui leur promettent des classements supérieurs sur les moteurs de recherche comme Google. Les propriétaires d’entreprises paient une somme d’argent considérable en espérant que leur site Web sera classé parmi les premiers résultats de recherche de Google en quelques jours. Mais cela ne va pas se passer comme ça. Le référencement n’est pas une technique à court terme. Vous ne pouvez pas garantir que les résultats seront atteints en si peu de temps. Cela peut prendre des mois, voire une année.

    Les gens essaient donc d’obtenir des résultats en quelques jours et lorsqu’ils n’y parviennent pas, ils pensent que c’est une arnaque. Et ils ne s’arrêtent pas là, ils partagent leur opinion avec beaucoup d’autres personnes et cela devient une idée fausse très répandue. Il est donc très important d’informer correctement votre client sur le processus et les délais, sans pour autant lui faire de promesses excessives. La plupart des sociétés de marketing ignorent cette partie et ne pensent qu’à présenter au client et à l’amener à bord.

    Le référencement est une opération ponctuelle

    Oui, le référencement n’est pas quelque chose dont vous devez vous occuper 24 heures sur 24, 7 jours sur 7. Selon ahrefs, c’est comme aller à la gym. C’est normal de manquer une séance d’entraînement de temps en temps. Mais si vous restez continuellement à la maison à manger de la malbouffe, les choses commencent rapidement à s’effondrer.

    Il y a tellement de choses que vous devez faire en permanence pour maintenir vos efforts de référencement, comme la création de liens, la mise à jour du contenu existant sur votre site Web et la correction des erreurs d’exploration. Si vous pensez que tout votre travail est terminé juste après la mise en place initiale du référencement et que vous le négligez, vos classements vont bientôt décliner, ce qui entraînera une baisse du trafic de recherche organique. Cela peut se produire pour de nombreuses raisons, comme le fait que des concurrents vous dépassent, que vous perdez des liens retour et que le contenu de votre site Web est obsolète.

    Les résultats apparaissent du jour au lendemain

    Les gens pensent que le référencement donne des résultats du jour au lendemain. Oui, c’est vrai pour de nombreuses techniques de marketing numérique comme le PPC et la publicité sur les médias sociaux. Mais ce n’est pas le cas pour le référencement. Le référencement prend des mois et parfois même jusqu’à un an pour obtenir des résultats mesurables. Il y a de nombreuses raisons à cela, comme la concurrence et le processus d’accumulation. Par conséquent, si vous attendez des résultats rapides, vous ne pourrez qu’être déçu. Vous devez être patient jusqu’à ce que les résultats soient atteints.

    Un bon site Web = un bon référencement

    Une autre idée fausse courante sur le référencement est qu’il ne concerne que le site Web. Oui, votre site web en est une partie importante. Vous devez vous assurer d’avoir un site Web optimisé avec des balises de titre riches en mots clés, des balises méta, du contenu et d’autres caractéristiques de référencement, adapté aux mobiles, une vitesse de chargement élevée, etc. Votre site Web doit être correctement structuré et convivial. Mais ce n’est pas tout. Il y a d’autres choses en dehors de votre site web que vous devez faire pour obtenir des résultats positifs en matière de référencement.

    La création de liens est l’une des principales activités de référencement hors site qui aura un impact positif sur votre classement dans les moteurs de recherche. Les soumissions aux annuaires, les signaux sociaux, les citations locales, le référencement local sont quelques-unes des autres activités hors site qui ont un impact sur le référencement.

    La recherche de mots-clés n’est pas importante

    Beaucoup de gens disent qu’il suffit d’ajouter des mots-clés pertinents à votre site Web et qu’il n’est pas nécessaire d’effectuer une recherche de mots-clés. Il s’agit d’une idée fausse. Ce n’est pas parce qu’un certain mot-clé est pertinent pour votre entreprise, le produit ou le service que vous offrez, qu’il est possible de se classer en utilisant ce mot-clé. Vous avez besoin de données pour sélectionner un mot-clé. C’est pourquoi la recherche de mots-clés est importante. Pour être précis, c’est le fondement d’une stratégie de référencement solide. Si vous sélectionnez un mot clé avec une très forte concurrence ou un très faible volume de recherche, vos chances d’être classé dans les moteurs de recherche sont assez faibles. Vous devez effectuer une recherche complète de mots-clés avant de sélectionner des mots-clés pour votre site Web.

    Plus vous utilisez votre mot-clé, mieux il se classera.

    Il s’agit d’une autre idée fausse très courante sur le référencement. Les gens essaient d’ajouter autant de mots-clés que possible à leurs pages web en espérant que cela apportera de meilleurs résultats de référencement. Mais peu de gens savent que cela aura un impact négatif sur votre classement. C’est ce qu’on appelle le bourrage de mots-clés et Google le considère comme une technique de référencement clandestine. Votre site Web peut même être pénalisé par Google pour cette raison. Par conséquent, veillez à ne pas ajouter inutilement des mots-clés à votre contenu.

    Le référencement consiste à acheter des liens

    Il s’agit d’une idée fausse très dangereuse en matière de référencement. Les gens pensent que si vous achetez un grand nombre de liens retour vers votre site Web, celui-ci sera rapidement classé en tête des moteurs de recherche. Il existe de nombreuses sources qui vous promettent des backlinks en masse. Mais vous n’avez que peu ou pas de contrôle sur l’emplacement des backlinks. Ce n’est pas une technique de référencement recommandée et c’est juste une façon de tromper ou d’induire en erreur Google et les autres moteurs de recherche. Mais peu de gens savent que les directives pour les webmasters de Google recommandent fortement de ne pas faire cela. Votre site sera pénalisé si vous vous faites prendre et une telle pénalité détruira votre classement dans Google.

    La balise titre et la méta-description n’ont pas d’importance

    Votre balise titre et votre méta-description sont les deux principaux éléments qui sont vus par votre public dans les résultats de recherche. L’un des mythes les plus courants en matière de référencement est qu’ils n’ont pas d’impact sur le référencement et que vous n’avez donc pas besoin de les optimiser. Ces deux éléments font partie des principaux éléments qui influencent votre classement dans les moteurs de recherche.

    Google identifie le mot-clé à classer, la pertinence du contenu principalement à l’aide de la balise meta qui comprend la balise titre et la méta-description.Si vous n’optimisez pas ces éléments, Google peut ne pas savoir quel mot-clé classer. De plus, le seul objectif du référencement n’est pas le classement dans les moteurs de recherche, mais les visiteurs organiques de votre site Web. Votre public peut ne pas savoir si votre page est pertinente par rapport à sa requête de recherche, si vous n’avez pas optimisé la balise méta.

    Au final

    Il y a beaucoup d’idées fausses qui circulent sur le référencement. Il est en constante évolution et rester en phase avec ces changements peut être un véritable défi. J’espère qu’après avoir lu cet article, vous avez bien compris ces mythes et idées fausses et que vous ferez attention la prochaine fois que vous les rencontrerez. Si vous avez besoin d’aide avec votre stratégie de référencement et le classement de votre site Web dans les premiers rangs de Google, notre équipe à DigiFix est plus qu’heureuse de vous aider.

  • L’importance du classement des résultats de recherche

    L’importance du classement des résultats de recherche

    Un site web bien classé contribue de manière significative à la notoriété de la marque et à l’augmentation du trafic organique. Quel que soit le type de contenu, de produits ou de services proposés par votre site Web, le trafic organique sera toujours bénéfique à la croissance de votre entreprise et l’aidera à atteindre ses objectifs.

    Un classement élevé dans les résultats de recherche de Google est l’un des principaux moteurs du trafic organique. Mais qu’est-ce que cela signifie ? Lisez ce qui suit pour essayer de comprendre la sphère en constante évolution des classements Google, du trafic organique, de la création de liens retour, des domaines de référence et des métadonnées.

    Qu’est-ce que le classement Google, et comment est-il déterminé ?

    Lorsqu’un utilisateur recherche un mot clé ou une requête en rapport avec votre site Web, le classement Google correspond à la position dans laquelle votre site Web sera répertorié pour ce terme de recherche particulier. La première page d’un résultat de recherche Google contient les 10 premiers sites Web jugés pertinents par Google pour ce terme de recherche spécifique. Un classement en première position signifie que votre site est classé en tête de ces résultats. La raison de ce classement peut toutefois varier.

    En fin de compte, Google souhaite offrir la meilleure expérience utilisateur possible à ceux qui utilisent sa plateforme pour effectuer des recherches. Par conséquent, Google donne la priorité aux sites qu’il considère comme ayant une expérience utilisateur positive et pertinente. Plusieurs autres facteurs, allant des mots-clés à l’optimisation du contenu en passant par la vitesse des pages, jouent un rôle dans le processus de classement de Google. Pour améliorer le classement de votre site Web, vous devez tenir compte de tous ces éléments.

    Conséquences d’un mauvais classement

    Un classement inférieur à la première page des résultats de recherche peut avoir un impact négatif sur le trafic de votre site Web et, en fin de compte, sur les conversions. Il est bien connu que les utilisateurs n’ont pas tendance à naviguer au-delà de la première page des résultats de recherche, mais dans quelle mesure le taux de clics diminue-t-il ? Des recherches ont montré que le site le mieux classé dans les résultats de recherche a un taux de clics moyen de 28,1 %. Ensuite, les sites classés en deuxième et troisième position ont un taux de clics de 15 % et 11 % respectivement. Le dixième ou dernier résultat de la première page chute radicalement et ne présente qu’un taux de clics de 2,5 %.

    Compte tenu de ce pourcentage décroissant, du potentiel de trafic organique et du taux de clics au-delà de la première page, vous souhaitez améliorer votre classement en vous rapprochant le plus possible des dix premiers résultats afin d’augmenter les chances que de nouveaux utilisateurs trouvent votre site Web et votre marque.

    Comment améliorer le classement

    S’il n’existe pas de solution miracle pour propulser votre site Web en première position, il existe plusieurs possibilités d’optimisation qui peuvent influencer l’algorithme de Google et améliorer le classement de votre site.

    • Contenu optimisé
      Tout d’abord, assurez-vous que le texte de votre page, les articles de votre blog, les titres de vos pages, les méta-descriptions, les URL, etc. sont optimisés pour les mots clés pour lesquels vous souhaitez être classé. Optimisez votre contenu pour qu’il soit pertinent et améliorez l’expérience de l’utilisateur. Évitez d’inclure trop de mots clés, car cette méthode de référencement clandestin risque de faire baisser votre classement.
    • Longueur du titre de la page et de la méta-description
      Même un titre de page et une méta-description optimisés doivent respecter leur limite de caractères respective. Le maintien du nombre de caractères dans la limite recommandée est tout aussi important que les mots et le format que vous avez utilisés.
    • Backlinks et domaines de référence
      Les backlinks sont un facteur de classement important pour tous les moteurs de recherche, ce qui rend les domaines de référence essentiels pour votre classement. Les domaines de référence sont les sites Web qui incluent un lien vers votre site Web sur le leur. Plus il y a de sites Web qui renvoient à votre site, mieux c’est. La réalisation d’une analyse des liens retour de vos concurrents vous donnera un aperçu de leurs profils de liens retour et du nombre de domaines de référence, ce qui vous fournira des cibles appropriées pour vos activités de création de liens.
    • Optimiser la vitesse des pages
      L’optimisation de la vitesse des pages est un facteur important de l’expérience utilisateur. Plus le chargement de votre site est long, que ce soit sur un ordinateur de bureau ou sur un téléphone portable, moins l’utilisateur est susceptible de rester sur votre page, ce qui laisse peu de possibilités de conversion.
    • Activités de relations publiques numériques
      Les activités de relations publiques numériques, telles que les placements de contenu et les partenariats avec des marques, vous permettent de toucher un public plus large et d’accroître la notoriété de votre marque. Les activités de relations publiques contribuent également à vos domaines de référence si vous négociez l’inclusion d’un lien retour. En établissant des liens avec des marques et des partenaires pertinents ayant une autorité de domaine suffisamment élevée, vous transmettrez cette même autorité à votre site, ce qui contribuera à votre succès en matière de classement.

    Un site est classé en 1ère page : c’est quoi la suite ?

    Bien qu’il existe plus de 200 facteurs de classement différents que vous pouvez rechercher pour améliorer la position de votre site Web, une fois que vous avez atteint la première position de classement, il n’y a aucune garantie que vous y restiez. Optimisez constamment votre site, car des facteurs tels que les mises à jour des algorithmes de Google, les activités des concurrents et l’intention des utilisateurs changent, autant de facteurs qui auront un impact sur vos niveaux de classement. Essayez d’optimiser votre site avant tout impact significatif pour aider à stabiliser et à maintenir votre position. En plus de l’optimisation et de l’identification de nouvelles opportunités de mots-clés, les activités de création de liens permettent de renforcer votre autorité et de poursuivre le flux de trafic organique vers votre site.

    Dans l’ensemble, l’amélioration de votre classement peut être un processus continu qui nécessite de la patience et des compétences. Toutefois, avec le temps, vous en récolterez les fruits. Si vous n’êtes pas familier avec Google et le territoire du référencement, envisagez d’engager un spécialiste pour vous aider dans ces domaines.

  • Améliorer votre taux de clics organiques (CTR)

    Améliorer votre taux de clics organiques (CTR)

    Nombreux sont ceux qui pensent que le référencement consiste à être découvert par les internautes sur les moteurs de recherche. C’est pourquoi ils consacrent tout leur temps et leurs efforts à l’optimisation de leur site Web à l’aide de mots clés, dans le but d’obtenir un meilleur classement dans les résultats des moteurs de recherche. Mais qu’en est-il si je vous dis que le fait de figurer en première ou deuxième position dans les résultats de recherche ne vous aidera pas à atteindre vos objectifs. Cela ne vous garantira pas des visiteurs ou des conversions. La chose la plus importante que vous devez faire est de comprendre ce qui convertit les chercheurs en lecteurs et finalement en conversions en améliorant le taux de clics organiques (CTR) de votre site Web. Se concentrer uniquement sur les classements Google ne vous aidera pas à améliorer votre CTR organique. Mais si vous vous concentrez sur l’amélioration de votre CTR organique, cela vous aidera certainement à améliorer votre classement dans Google. Dans cet article, nous allons partager certaines des principales méthodes permettant d’améliorer votre taux de clics organiques.

    Utilisez des mots-clés à longue portée

    Les mots-clés de longue traîne sont l’un des principaux moyens que vous pouvez utiliser pour améliorer votre CTR organique. Les mots-clés de longue traîne sont très spécifiques et très ciblés. Les volumes de recherche de ces mots-clés sont comparativement plus faibles, ce qui réduit automatiquement le niveau de concurrence. Lorsqu’un utilisateur tombe sur un résultat de recherche très descriptif et très lié à la requête de recherche, il est plus susceptible de cliquer sur l’URL.

    Lorsque vous recherchez des mots-clés à longue traîne, essayez d’utiliser des détails spécifiques de votre marché de niche. Par exemple, si vous êtes une entreprise qui offre des services de marketing numérique, essayez d’utiliser des mots clés tels que entreprise de marketing numérique à Melbourne, entreprise de marketing numérique pour les jeunes entreprises, entreprises de marketing numérique primées, entreprises de marketing numérique pour les petites entreprises, etc. Lorsque vous utilisez ces types de mots clés, en particulier dans les endroits où ils sont visibles pour les utilisateurs des moteurs de recherche, comme la balise titre et la méta-description, ils seront convaincus que votre site Web offre une solution à leur problème.

    Rédigez des balises de titre et des méta-descriptions convaincantes

    La balise titre et la méta-description sont les éléments visibles sur la page de résultats du moteur de recherche. Votre balise titre doit pouvoir donner une idée générale du sujet de la page. Vous pouvez utiliser des mots-clés très spécifiques à longue traîne dans la balise titre. La balise titre est la première chose que voit un chercheur dans un moteur de recherche et elle doit pouvoir inciter les gens à cliquer sur l’URL.

    La méta-description doit donner une description du contenu de la page. Les internautes doivent avoir le sentiment que votre site Web répondra à leurs problèmes lorsqu’ils lisent la méta-description. Il est important de répondre aux questions les plus courantes et les plus importantes de votre public cible, de la rendre très pertinente et spécifique et d’utiliser un langage puissant et convaincant dans la rédaction de la méta-description.

    Mettez en œuvre des données structurées

    Les données structurées vous permettent d’afficher les détails importants de votre activité avant même que les internautes ne visitent votre site Web. Vous pouvez marquer les détails importants concernant votre entreprise sur le site Web, tels que l’adresse, les coordonnées, les heures d’ouverture et de fermeture, la gamme de prix, les récompenses, les critiques et les évaluations, etc. et ces informations seront visibles sur la page de résultats du moteur de recherche. Ces informations seront visibles sur la page de résultats du moteur de recherche. Cela donne une idée claire de ce qu’est votre entreprise, des produits et services que vous proposez, des avantages que vos clients obtiennent et de bien d’autres choses encore, simplement en consultant les résultats de la recherche.

    Utilisez des URL optimisées

    L’URL de votre site Web est l’un des principaux éléments qui apparaissent sur la page de résultats du moteur de recherche et un élément qui a un impact majeur sur votre CTR organique. Une méthode pour y parvenir consiste à rendre l’URL aussi descriptive que possible. Essayez d’ajouter les mots-clés que vous avez sélectionnés à l’URL de manière significative. Faites en sorte que quiconque voit votre URL puisse facilement se faire une idée du contenu de votre page Web. Cependant, il est important de garder à l’esprit que votre URL ne doit pas être trop longue. Les gens aiment voir des URL propres, faciles à lire et à comprendre. Une URL très longue est plus difficile à lire et à comprendre pour les utilisateurs, ce qui entraîne des problèmes de convivialité et, en fin de compte, une baisse du CTR.

    05. Proposez un contenu localisé

    Saviez-vous que plus de 65 % du trafic mondial des sites Web est enregistré à partir d’appareils mobiles ? Il est donc important que votre contenu réponde aux besoins des utilisateurs mobiles. La localisation de la plupart des appareils mobiles est activée, ce qui permet à Google et à d’autres moteurs de recherche de leur fournir des solutions plus locales et géospécifiques. Une façon de localiser votre contenu consiste à inclure la localisation dans la balise titre, la méta-description, l’URL et le contenu. Ainsi, vous pouvez cibler les clients à forte intention qui recherchent activement la solution que vous avez à offrir. Vous pouvez également inscrire votre entreprise sur Google My Business et optimiser votre compte. Cela permet à votre site Web d’apparaître aux côtés du reste des concurrents lors des recherches locales.

    Créez des articles avec des images

    Il est courant d’utiliser des images dans vos pages web, dans des articles web. Mais saviez-vous que la présence d’images sur votre site Web peut avoir un impact positif sur votre CTR ? La plupart des gens passent aussi par le contenu visuel lorsqu’ils recherchent du contenu. Le nombre de pages vues par jour enregistrées à partir de Google images est supérieur à 1 milliard ! Si vous n’utilisez pas correctement les images, vous passez à côté d’un très large public. Cependant, il ne suffit pas d’ajouter des images à votre site Web et à vos articles. Vous devez les optimiser pour Google. Parmi les principaux moyens d’y parvenir, citons l’écriture de noms de fichiers clairs et spécifiques, la rédaction de balises alt et l’inclusion de mots-clés dans celles-ci, ainsi que la compression des images afin de réduire la taille de stockage tout en maintenant une qualité élevée. Vous pouvez même aller plus loin et créer vos propres images et les mettre en filigrane. Oui, il est beaucoup plus facile de télécharger des images de stock. Mais elles sont aussi très courantes et tout le monde peut y avoir accès, tout comme vous. Le fait de voir des images uniques et intéressantes incite les gens à cliquer sur l’image, ce qui améliore votre CTR organique.

    Optimisez la vitesse du site

    À première vue, vous ne voyez peut-être pas la vitesse de chargement du site comme un facteur qui affecte directement votre CTR organique. Oui, même si votre site n’est pas rapide, les internautes peuvent cliquer sur votre URL. Mais il est certain qu’ils rebondiront rapidement, ce qui aura un impact négatif sur votre CTR organique. Il existe de nombreux outils que vous pouvez utiliser pour mesurer la vitesse de chargement de votre site Web, comme Google PageSpeed, Pingdom, PageSpeed Insights et GTmetrix. Si votre site Web prend plus de 3 secondes à charger, effectuez un audit du site Web, identifiez les raisons de ce temps de chargement élevé et rectifiez-les.

    Utilisez l’aperçu Yoast (dans WordPress)

    Si vous êtes un utilisateur de WordPress, Yoast est l’un des meilleurs outils de référencement que vous pouvez utiliser pour améliorer votre CTR organique. Avant de publier la page de votre site Web ou votre article, il vous permet de prévisualiser votre extrait tel qu’il apparaît sur les SERP. Il est très important de regarder les choses du point de vue du client. En outre, Yoast SEO donne des recommandations sur la façon dont vous pouvez améliorer votre balise titre, la description, l’URL et le contenu et vous pouvez faire les changements en conséquence.

    Identifiez les différents CTR de votre site Web

    Il est très important de savoir ce qui fonctionne et ce qui ne fonctionne pas, afin de pouvoir apporter les changements nécessaires à votre site Web. Google Analytics est l’une des meilleures plateformes, facilement utilisable, pour obtenir ces informations. Ici, sous Search Console, vous pouvez facilement accéder à toutes les informations telles que les clics, les impressions, le CTR, la position moyenne sur la SERP, le taux de rebond et les conversions. Vous pouvez vérifier ces données pour des pages de destination individuelles. Vous pouvez facilement identifier ce qui fonctionne et ce qui ne fonctionne pas et apporter les changements nécessaires pour améliorer les pages Web.

    Soyez créatif avec votre balise titre

    La balise de titre étant le principal élément que les chercheurs de Google voient, il est essentiel d’avoir une balise de titre qui incite les gens à cliquer. L’ajout d’une composante émotionnelle telle que l’amour, la colère, l’anticipation et la confiance peut entraîner une augmentation spectaculaire du taux de clics. Il a également été prouvé que l’ajout de chiffres dans la balise titre peut accroître l’intérêt des gens et les inciter à cliquer. L’utilisation de mots clés tels que « secret », « spécial », « premium » et « prouvé » peut également augmenter considérablement le CTR organique.

    Le CTR organique est un facteur déterminant de la réussite de votre plan de marketing numérique. Nous avons présenté dans cet article un certain nombre de moyens d’augmenter votre CTR organique. La plupart d’entre elles sont très faciles à comprendre et à mettre en œuvre.